En voyage chez ma soeur qui vit sur un campo de gaucho, sans eau courante ni électricité (on s’est quand même offert le luxe d’une brouette et de quelques outils neufs !), nous entreprenons à plusieurs de rénover les enduits très abîmés de sa toute petite maison en adobes.
Au programme, dégradation des enduits existants, concassage, ramassage de crottin de cheval séché, ramassage de sable à un endroit où un gaucho se souvenait que l’eau du canal en avait déposé. Puis nous avons formulé un nouvel enduit à l’aide de ces différents ingrédients.
Une expérience libératoire de faire « avec ce qu’on a ».
